Saint Martin
La navigation est un moment propice pour le CNED. Elise a retrouvé la motivation du CNED. Les séances partagées avec Mathéo d’Essentiel y sont certainement pour quelque chose. La mer est calme, la tornade blanche est en action. C’est aussi l’occasion de faire la chasse à la rouille. L’air salin ne pardonne pas, il faut avoir l’œil et ne pas se laisser envahir par cet ennemi. Il faut le savoir les inox (chinois) d’aujourd’hui sont oxydables… La nuit est noire. L’avant de Teoula est à peine perceptible. Les étoiles sont au rendez-vous, mais je suis perdue. Papa, amène-nous un livre sur les cartes du ciel, il est temps que j’apprenne leurs noms. On aura tout le temps de les faire connaissance avec les étoiles durant la transat retour jusqu’aux Açores. Mémorable ! Nous ne sommes pas prêts d’oublier l’image du saut de la baleine à bosse qui nous a accueillis à l’issue de cette traversée de 340 MN, à 10 MN des côtes de Saint Martin. Même la photo dans notre GEO n’est pas aussi belle que celle que nous garderons en mémoire. Par contre, l’image des alignements de parasols rouges et blancs et rangées de bétons de la côte néerlandaise de Saint Martin nous laisse perplexes. On devient difficiles à force. Nous profitons de cette halte pour renouveler notre équipement photo. Notre appareil numérique Olympus étanche à 10m, n’a pas résisté à une plongée de 2 mètres… Les prix des appareils photos sont plus intéressants que le Nutella. Désolés les enfants, j’ai reculé devant les 9 euros les 750g. On continuera avec les Nesquik sur les tartines beurrées.